Critiques

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Avril 2021, Pierrette Boivin, chroniqueuse au magazine Nuit blanche

« Outre du pouvoir bienfaisant des arts sur la psyché humaine, ce roman témoigne de celui des contraintes qui s’avèrent stimulantes pour l’imagination, dont celle d’écrire un roman à deux personnages alors qu’un seul parle.

Dont celle aussi d’inventer des histoires à partir d’un support comme l’ont fait les Robert Lepage et Jacques Lessard à l’époque du défunt Théâtre Repère.

Valérie Garrel, une nouvelle romancière à suivre. »

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Mars 2021, Anne-Josée Cameron, journaliste Culture à Radio-Canada sur son fil Facebook

« Un homme et une femme se croisent sans cesse au Musée. Un jour, Antoine ose parler à Cassandra qui l’écoute. Leur relation se tissera au fil des tableaux observés ensemble.

J’ai été très agréablement surprise par ce joli roman qui aborde les thèmes de la rencontre amoureuse, de la disparition, de la résilience et de l’immigration. Le récit est construit autour de 8 tableaux qui sont dans la collection permanente du MBAM.

Charmant »


Mars 2021, Billy Robinson, dans l’émission littéraire Cochaux Show sur CFLX 95,5.

« Un livre d’une belle facture et aussi d’une écriture très sensible, très intéressante. Un beau roman qui fait vraiment du bien et qui mérite qu’on en parle un peu plus. »


Mars 2021, Dominique Blondeau, sur son blogue Ma page littéraire.

« Après avoir lu et refermé ce livre, on s’est demandé de quel monde fictif on ressortait. On a conclu qu’on venait de lire un conte moderne, qui commençait mal, finissait bien. Il y a la misère morale, la détresse insoutenable, auxquelles nous devons faire face, devant les traverser sur la pointe des pieds. Puis, jaillit une lumière qui coupe la nuit en morceaux étoilés. Une princesse attristée apparait sous la forme d’une jeune femme aux « joues d’ébène », indice identitaire qui, plus tard, mettra le lecteur sur une piste dramatique. L’arrivée d’un prince charmant fantasque, aux allures dégingandées. C’est une manière d’embellir  davantage ce livre aux accents parfois lyriques, bien que la vie de Cassandra contienne peu de cette musique. »

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Février 2021, Caroline Tellier dans l’émission littéraire Cochaux Show sur CFLX 95,5

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Février 2021, Sébastien Veilleux, libraire à la Librairie Paulines dans la revu Leslibraires.ca

« Au Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM), un homme aborde une femme dans l’espoir d’entamer un dialogue. À défaut de lui répondre, souhaitant peu faire des rencontres, Cassandra écoute néanmoins cet étranger lui raconter les récits que lui évoquent ces toiles. (Notons qu’il s’agit des œuvres de l’exposition permanente du MBAM.) Les photos des peintures sont reproduites dans le livre pour permettre au lecteur de s’en imprégner. L’intériorité des personnages se dévoile peu à peu, par petits coups de pinceau, révélant l’histoire de chacun. Avec ce premier roman, Valérie Garrel nous fait vivre l’émoi d’une rencontre amoureuse par le truchement de l’art, un voyage fabuleux, exotique et émouvant. »

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Janvier 2021, Manon Dufresne, technicienne en documentation à la bibliothèque de la Malbaie

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Janvier 2021, Johanne Mathieu, journaliste à MaTv.ca

« Un roman empreint d’une grande poésie et d’une grande beauté. »

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Janvier 2021, Lynda Dion dans l’émission littéraire Libraire de force sur CIBL 101.5

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Janvier 2021, Yvon Paré sur son blogue « Littérature du Québec » :

« Roman touchant, intelligent qui bouscule des façons de voir qui se modifient avec les époques. Un tableau ne vibre que par le regard, tout comme la musique n’est vivante que quand elle est jouée et qu’elle devient une réalité sonore. Valérie Garrel montre que l’œuvre artistique nous ramène immanquablement à nous. Cassandra et Antoine se précisent peu à peu dans leur drame et leur fragilité. Mais avant tout, Rien que le bruit assourdissant du silence est un apprentissage, une façon d’apprivoiser la manière que l’on a de se voir et de s’entendre, de se comprendre et de se guérir de ses traumatismes et de ses peurs. « 

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Décembre 2020, Jean-François Crépeau, Le Canada Français,

Et sur son blogue « Passion Chronique » :

« Valérie Garrel a insufflé à ses personnages et aux épisodes de leur existence liée à des toiles une vie aussi fragile l’une que l’autre dans leur intensité et dans le bruit qui résonne en chacun. Le discours littéraire de l’autrice brise à peine le silence du titre, car il est si doux que même les violences qu’il évoque n’écorchent plus quand le rideau tombe. »

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